RDC : Félix Tshisekedi lance l'évaluation trimestrielle du gouvernement Suminwa en novembre

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Après être investi il y a près de quatre mois à l’Assemblée nationale, le gouvernement Suminwa sera soumis à une évaluation ce mois-ci. Cela a été décidé, vendredi 1er 2024, par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi lors de la vingtième Conseil des ministres tenu à la Cité de l’Union Africaine (UA). Donc, il est question d’évaluer trimestriellement les actions de chaque membre du gouvernement, le président de la République tient à concrétiser la promesse faite lors de la campagne électorale de 2023.
« Au vu du temps déjà écoulé et du besoin impérieux de voir le gouvernement remplir ses tâches à la grande satisfaction de nos concitoyens, le Président de la République a informé que l’évaluation annoncée commencera dès ce mois de novembre 2024 et sera, dans un premier temps, axée sur l’exécution de ses instructions, des recommandations faites et des décisions prises lors des différentes réunions du Conseil des ministres. À cet effet, il a engagé la Première ministre à définir, en collaboration avec son cabinet, un mécanisme d’évaluation mieux élaboré pour atteindre les résultats escomptés », renseigne le compte rendu de la réunion, lu le vendredi 1er novembre 2024 par le porte-parole du gouvernement.

Au vu du temps déjà passé et du besoin impérieux de voir le Gouvernement remplir ses tâches à la grande satisfaction de la population, le Président de la République a informé que l’évaluation annoncée va débuter dès ce mois de novembre 2024 et sera, dans un premier temps, axée sur l’exécution de ses instructions données, des recommandations faites et des décisions prises lors des différentes réunions du Conseil des Ministres.

A cet effet, il a engagé la Première Ministre à définir, en collaboration avec son Cabinet, un mécanisme d’évaluation mieux élaboré pour atteindre les résultats escomptés. Un rapport est attendu à ce sujet au prochain Conseil des Ministres.

Le programme du gouvernement reste focalisé sur les six engagements annoncés par le chef de l’État lors de son investiture. Il s’agit notamment de la création d’emplois, de la protection du pouvoir d’achat de la population, d’assurer avec beaucoup plus d’efficacité la sécurité des populations et de leurs biens, de la diversification de l’économie nationale, de garantir un meilleur accès aux services sociaux de base et de renforcer l’efficacité des services publics du pays.